1. Johann Sebastian Bach (1685-1750) : Prélude "Ratswahlkantate" (trans. De W. Kempff)
2. Johann Sebastian Bach (1685-1750) : Die Seele ruht in Jesu Händen (trans. H. Bauer)
3. Georges Bizet (1838-1875) : Adagietto de "L'Arlésienne" (trans. L. Godowsky)
4. Carl Bohm (1844-1920) : Still wie die Nacht (trans. L. Godowsky)
5. Robert Schumann : Du bist wie eine Blume (trans. L. Godowsky)
6. Schubert : Musique de ballet de "Rosamunde" (trans. L. Godowsky)
7. Fryderyk Chopin : Walz in D flat Major (trans. L. Godowsky)
8. Fryderyk Chopin  : Hulanka (trans. F. Liszt)
9. Bedřich Smetana : Polka de salon en fa dièse majeur
10. Adolph von Henselt : Si oiseau j'étais
11. Federico Monpou : Canciones y danzas (1, 4, 6)
14. Moritz Mozkowski : Cinq danses espagnoles (trans. A. Ulrich)
17. Leopold Godowsky : Triakontameron (11, 13, 18, 19)
21. Johann Strauss : Métamorphoses, extrait de "La chauve-souris" (trans. L. Godowsky)
22. Ignaz Friedman : Marquis et Marquise
23. Dirk Schäfer : Mainacht

Il était une fois... à l’apogée du piano, entre 1880 et la Seconde Guerre mondiale, alors que presque tous les pianistes étaient également compositeurs et arrangeurs.
La distinction entre interprétation, arrangement et composition n’est pas toujours nette ni décisive – la seule chose importante est l’effet délicieux de ces joyaux pour piano, que le pianiste Jacob Leuschner,
qui explore le répertoire de cet « âge d’or du piano » depuis des décennies, a enregistré pour son nouveau CD Genuin
Les noms de Leopold Godowsky, Ignaz Friedman, Federico Mompou s’y trouvent, ainsi qu’un enregistrement en première du Néerlandais Dirk Schäfer.
Ce sont des moments de piano intimes qui, joués de manière enchanteresse et sans le bruit des disques de gomme laque, ramènent néanmoins leur époque à la vie sous nos oreilles.