Reynaldo Hahn
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1939, Aux bosquets d'Idalie, ballet composé en 1939, sur un livret d'Abel Hermant
Créé à Paris, à l'Opéra, en 1939
Paris, Max Eschig, 1939
1939, Romance pour flûte, violon alto, violoncelle
Inédit
1940, Quatuor en la mineur pour 2 violons, alto et violoncelle
Composé entre l'Hermitage et Toulon, au cours de l'année 1939, dédicacé « A mes amis du quatuor Calvet »
Joué à Radio-Paris le 1er janvier 1940, par le Quatuor Calvet
Paris, Heugel, 1943, réédition en 2002 Alphonse Leduc
1941 Récitatifs pour Phryné de Camille Saint-Saëns,
Pour remplacer le texte parlé utilisé auparavant, au Casino Municipal de Cannes en 1941
Inédit
1942, Concerto provençal pour flûte, clarinette, basson, cor et double quintette à cordes
Paris, Salabert, 1954
Joué à Radio-Paris, le 30 juillet 1945, sous la direction d'André Girard
1942, A la lumière, chœur pour voix mixte, sur un poème d'Anatole France.
Cannes, F. Moulin, s.d.
Mozart, à Paris, comédie musicale en 3 actes de Sacha Guitry
Créée à Paris, au Théâtre Édouard VII, le 2 décembre 1925, reprise le 20 septembre 1932, au Théâtre de la Madeleine, avec Sacha Guitry et Yvonne Printemps…, sous la direction de Raoul Labis
Paris, Heugel, 1925
1943, L'Alouette, d'après l'abbé Joseph Hemmerlé « Chansons du blé qui lève », éditions ouvrières 1943
1944, La Cathédrale de Strasbourg, pour ténor et chœurs, composé sur un poème d'Aragon
Créé à Monte-Carlo, au début de l'année 1944, puis donné à l'Opéra le 21 novembre 1945
Inédit
Reynaldo Hahn (1874-1947)
«Mon cher ami,
Je m’excuse de vous importuner, mais je sais que si vous pouvez me rendre le
service de faire parvenir cette lettre, vous le ferez certainement
J’ignore l’adresse de Chautemps, à qui j’écris parce qu’ayant été de leurs amis
quand ils étaient heureux et puissants , je tiens à leur dire que je le suis
toujours.
Si vous ne pouvez découvrir où ils sont, soyez assez gentil pour me le dire.
J’espère que vous allez bien et que vous vous tirez d’affaire. Je suis sûr que
vous trouverez un semblant de consolation à votre grand chagrin en pensant que
votre mère n’a pas vu toutes ces horreurs !
Affectueusement votre.
Reynaldo Hahn».