(c) Hall de la Chanson
Après la Seconde Guerre mondiale,
Renée Lebas abordera dans diverses chansons le thème de la Shoah. A commencer
par La Fontaine endormie (1956), écrite en hommage à sa sœur,
jamais revenue d’Auschwitz. Diverses chansons sont inspirées du folklore juif
ashkénaze, comme Tire, tire l'aguille* et Mammy (Yiddische Mamme).
Elle chantera aussi Garde l’Espérance (Hatikvah).
Elle meurt à Paris le 18 décembre 2009.
* Aussi appelée "Der rebe hot geheysn freylekh zayn" (Le Rabbin exige que nous soyons joyeux), "Freylech Zayn" (Soyez Heureux!), "Ma Yofus" (Que c'est beau), "Tanz Tanz Yidelekh" (Danse, Danse, petit Juif)
Notre plongée archivistique du jour est consacrée à la carrière de Renée Lebas. Une carrière assez méconnue pour une chanteuse qui pourtant, par son exigence et la sûreté de ses choix, mérite d’être ennoblie d’une capitale. Ouvrons donc la mémoire de Madame Lebas, en repartant, comme souvent dans nos Greniers, des si riches années 1930…Renée Lebas (23 avril 1917) est une jeune fille du quartier de La Bastille… Elle n’en est pas originaire : ses parents, juifs roumains, sont réfugiés en France. Son père est tailleur. Sa mère est couturière. Ses premiers pas artistiques ? Ses premières armes de chanteuse ? Elle les fait avec l’« l’Écho du douzième », qui donne de petits concerts dans les cafés ayant des sympathies de gauche et dans les cinémas de quartier. C’est d’ailleurs dans un cinéma de Belleville qu’elle chante pour la toute première fois, alors inspirée par le modèle de Lucienne Boyer. Comme le rappelle Hélène Hazera (L’Humanité, 27 août 2004), dans les années trente, « chaque parti de gauche se devait » en effet « d’avoir ses groupes culturels, chorales, orphéons, groupes de théâtre ou de poésie ». L’« l’Écho du douzième » est une antenne de la Fédération des théâtres ouvriers de France. C’est dans ce cadre que Renée Lebas fait, au milieu des années 1930, la rencontre de Nathan Korb, futur Francis Lemarque. Les années qui suivent marquent à la fois l’affirmation de sa deuxième vocation – être chanteuse, rêve qui succède à un premier fantasme journalistique – et toute la difficulté à y parvenir. Tour à tour dactylo, danseuse, journaliste… celle qui hante les salles de concert (elle ne rate pas un récital parisien de Charles Trenet, par exemple) finit, en 1937, par remporter un radio crochet organisé par Radio-Cité. Cette distinction lui permet de se lancer comme interprète au cabaret La Conga, à Paris. Elle y rencontre Raymond Asso, l’auteur (surtout connu pour ses amours et ses collaboration avec Piaf), de seize ans son aîné et qui la prend sous son aile. Très vite elle passe du stade d’amateur au stade professionnel : elle enregistre son premier disque en 1939 et signe un contrat avec Pathé en mai 1940. « À une époque où l’on met dix ans à parvenir en haut de l’affiche, elle grimpe vite les marches, de cabaret en music-hall » (H. Hazera).
La guerre est, comme pour bon nombre d’artistes – même si certains font le choix de rester parisiens, au risque d’ailleurs de quelques confusions politiques -, un tournant. Interdite de diffusion, la jeune chanteuse d’origine juive rejoint la zone libre. Installée à Nice, elle se produit notamment à l’Alcazar de Marseille où elle croise un certain Yvo Livi (alias Yves Montand) qui fait ses premiers pas sur scène : elle chante à Cannes en 1941, accompagnée sur scène par le pianiste Michel Emer. Il lui compose et écrit D’l'autre côté de la rue. Autre rencontre : celle de Paul Misraki, lui aussi replié dans le sud, comme une bonne partie de l’intelligentsia et du monde artistique, qui lui propose Insensiblement. Mais en juillet 1942, sa soeur cadette et son père sont emportés dans la rafle du « Vel' d'Hiv' ».
Sur les conseils de Francis Carco, avec qui elle s’est aussi liée d’amitié, elle quitte la France pour Lausanne et la neutralité suisse. Pendant deux ans, elle y enregistre (D'l'autre côté de la rue et Insensiblement en 1942, puis, en 1943, Exil, sur un texte de François Reichenbach et une musique de Philippe Gérard, et 14 juillet du suisse Gilles Jean-Vilard), y collabore indirectement à la Radio Suisse Romande (chaque semaine la station diffuse ses nouvelles chansons, juste avant l’éditorial de politique internationale du journaliste René Payot, réputé pour sa lucide neutralité et très écouté en Europe francophone grâce aux grandes ondes) et directement sur Radio-Sottens. En Suisse, la chanteuse fréquente Carco et sa femme, mais aussi d’autres expatriés de la chanson : Marie Dubas, Germaine Montero, Michel Emer notamment.
De retour en France, elle est une des toutes premières à enregistrer un disque dans les studios de la capitale. Dès la fin de l’année elle enregistre notamment, pour Gramophone, La fille au manège (Lafargue/Norbert), reprend D’l’autre côté de la rue et L’Accordéoniste (Emer), qu’elle a déjà gravé en Suisse en 1942. Sa carrière est relancée par ses prestations sur scène : l’A.B.C. (qui lui réserve un accueil triomphal), le Théâtre de l’Etoile, L’Européen, etc., mais aussi les scènes de cabarets. Elle crée alors La Mer, de Charles Trenet qui lui décerne alors le titre de « La mère de la mer ». Seule une archive de la radio suisse garde une trace de cette interprétation jamais gravée en 78 tours. De Trenet elle chantera aussi Revoir Paris, Fleur bleue, Madame la pluie. Elle travaille avec Wal-Berg (ex-arrangeur et chef de l’orchestre de Charles Trenet), Norbert Glanzberg, le pianiste Emil Stern enfin, qui l’accompagne sur scène. Ce dernier compose en 1946, avec Eddie Marnay pour les paroles, son plus grand succès sans doute, Où es-tu mon amour ?. Avec La Fontaine de Varsovie (Marnay/Stern), elle est la première à aborder le thème de la Shoah ; une chanson dédiée à ses parents disparus. En 1948, elle enregistre Elle tourne la terre, d'un jeune auteur compositeur inconnu, Léo Ferré, dont elle est la première interprète. La chanson a beau être un « bide commercial », de l’aveu même de Renée Lebas, elle enregistrera aussi de lui Paris Canaille et L’Île Saint Louis. Renée Lebas est donc, avant tout, adepte d’une chanson exigeante qui impose, selon sa propre expression, de ne pas se fier à la seule « musique des mots », à leur « côté extérieur », mais à leur sens profond (Ce Soir, 7 juillet 1951). Elle ne s’en tient cependant pas à ce seule registre parfois ardu, voire difficile, si l’on songe entre autres à Paris qui s’éveille (1948, de Heyral et Marnay), Il fait si bon d’aimer (1949, Glanzberg/Plante), et plus tard à Tire l’aiguille que lui troussent Eddy Marnay et Eddie Barclay en 1950 (Eddie Barclay jouant pour elle un rôle de relance après une fin des années 1940 en demi-teinte) ou, en 1952, à La Saint Bonheur, toujours de Barclay associé à Emil Stern et Henri Contet, voire en 1955 et 1956 Un enfant de la balle (Barclay/Gérard/Rouzaud) et La Valse des Lilas (Barclay/Legrand/ Marnay). Et puis elle chante aussi Aznavour (1955, Viens au creux de mon épaule ; 1957, Sa jeunesse entre ses mains, On ne sait jamais…), Pierre Delanoë (1957, Ombres sur la mer). Comme le souligne Hélène Hazera, spécialiste émérite de l’histoire de la chanson en France, « Renée Lebas est [alors] une chanteuse singulière : un pied sur la rive droite, avec des refrains entraînants qui ont pour principal mérite de s’imprimer facilement dans les mémoires, un pied sur la rive gauche ». Ainsi, outre Ferré, elle n’hésite pas à chanter, à partir de 1952, les textes de Boris Vian (Sans blague, Moi mon Paris, Au revoir mon enfance, La Valse à Renée, Ne te retourne pas, etc.). A Carco elle consacre, en 1954, tout un album, osant jusqu’à cette Chanson posthume, écrite à la mémoire du frère du poète, suicidé. « La voix de Lebas explore des zones troubles de l’âme humaine, ou peu osent s’aventurer, avec une qualité de cafard rare ». Sa notoriété l’appelle à l’étranger : en 1956 elle part avec Francis Lemarque pour Moscou. Il lui adapte alors une chanson qui fera le tour du monde Le Temps du muguet », chanson de la fin de la première guerre froide.
Sur René Lebas les éloges pleuvent un peu. D’après Aznavour, Piaf, la «
meilleure ennemie » de Lebas (d’après la chanteuse elle-même, Le Monde, 4
mars 2003), ne tolérait qu’il présente ses chansons lui étant destinées qu’à
Lucienne Delyle et… Renée Lebas. De Renée Lebas, Brel disait qu’il préférait sa
version de La Valse à mille temps à celle qu’il avait lui-même
enregistré…
Nonobstant, la carrière de Renée Lebas s’arrête tôt : en 1963, à quarante-six
ans, elle donne son dernier concert. Elle pense devoir passer à autre chose, à
la production notamment et au soutien des jeunes pousses (elle aide ainsi Serge
Lama et Régine). Puis elle s’éloigne du show-biz sans que le souvenir de sa
carrière ne s’efface tout à fait chez les fins connaisseurs de la chanson et de
la mémoire collective.
France Musique
Les Greniers de la mémoire par Karine Le Bail & Philippe Tétart
30 avril 2006
Renée Lebas (née Renée Leiba) Naissance : Paris, 23 avril 1917 Décès : Paris, 18 décembre 2009 Photo : Droits réservés Écrit par Frédérick Blais Mise à jour le Dimanche, 18 Avril 2010 08:26 |
La carrière active de Renée Lebas s’étend sur plus de 25 ans. Après s’être retirée de la chanson, elle fut productrice, puis reporter. Le 18 décembre 2009,
l’artiste nous quitte à l’âge respectable de 92 ans. Grâce à ses nombreux enregistrements, son répertoire de qualité, toujours défendu avec grand professionnalisme,
continuera encore longtemps de charmer le cœur du public.
Les premiers pas Renée Lebas naît à Paris le 23 avril 1917, sous le nom de Renée Leiba, d’un père tailleur et d’une mère couturière. Ses parents, d’origine roumaine, sont juifs.
La petite famille habite le quartier de la Bastille. Premières chansons, premiers disques En 1937, la chanteuse remporte un radio-crochet organisé par
Radio-Cité. Elle devient ensuite interprète au cabaret La Conga,
situé sur la rue de la Fontaine à Paris. C’est là qu’elle
rencontre le parolier Raymond Asso, qui signe pour elle ses
premières chansons. Le premier disque de la chanteuse voit le jour
en 1939. Les années Suisses
En 1942, un grand drame survient dans la vie de la chanteuse. Son
père et sa sœur sont tués lors du raft du Vel’d’hiv. Francis
Carco, un bon ami de la chanteuse, lui suggère alors de
s’installer à Lausanne, en Suisse. C’est là qu’elle enregistre
De l’autre côté d’la rue et Insensiblement. La
chanteuse se produit également beaucoup sur les ondes de la radio
suisse romande. Les années succès
À la libération, en 1945, de retour en France, Renée Lebas inaugure la réouverture des
studios parisiens. Elle est en effet la première à y enregistrer.
Pour Gramophone, la chanteuse met sur disque La fille au
manège, ainsi que de nouveaux enregistrements de De
l’autre côté d’la rue et de L’accordéoniste, déjà
gravées en Suisse, mais dans des versions qui ne la satisfont
guère. L’écurie Barclay
Au début des années 50,
l’artiste quitte Pathé et signe un contrat avec le label Mercury,
alors dirigé par Eddie Barclay. C’est sur cette étiquette que sort
Tire tire l’aiguille, son plus grand succès. Émil Stern
et Eddie Barclay adapte ce chant traditionnel juif de mariage, qui
obtient le grand prix du disque, en 1952. Une grande interprète
Elle part néanmoins en
tournée en Afrique noire et en Afrique du Nord. Par ailleurs,
pendant toute les années 50, une quinzaine de 45 tours et
plusieurs 25 cm paraissent. Elle y interprète, entre autres,
Charles Aznavour (Sa jeunesse, Viens au creux de mon
épaule, Sur ma vie), Francis Lemarque (L’air de
Paris, Marjolaine), Georges Brassens (Chanson
pour l’auvergnat) Les adieux à la chanson
En janvier 1962, à la demande de Bruno Coquatrix, la chanteuse remplace Colette Renard,
tombée malade, à l’Olympia. Cependant, malgré le succès, Renée
Lebas prends la décision de quitter la chanson. Elle enregistre 4
chansons chez Barclay, dont La fête est finie, pour clore
son contrat avec la firme. Son dernier concert aura lieu à Pacra,
en novembre 1963. Discographie
Le grand voyage du grand nègre – Un pêcheur de perles. On danse sur ma chanson – Madame, redites-moi cette chanson. Le premier rendez-vous – Ses mains. Insensiblement – Revenir. L’accordéoniste – Le vagabond. Je suis seule ce soir – Soirée perdue. D’l’autre côté de la rue – Le chant de notre amour. On s’aimera quelques jours – Am stram gram. La légende du swing – Harlem. 14 juillet – Je n’connais rien à la musique. Un petit bouquet de violettes – Exil. Toi seul – Il suffit d’une fois. Amor, amor, amor – Loin dans l’ombre du passé. La fille au manège – D’l’autre côté de la rue. L’accordéoniste – Insensiblement. Harlem – Besoin de vous. Bal de nuit – Où es-tu mon amour. Bal de nuit – Où es-tu mon amour. Toi seul – Garde l’Espérance. Too-ra-loo-ra-loo-ral – Jimbo l’éléphant. Mammy – Sur la route bleue. Mammy – Sur la route bleue. Entre nous – C’est toi, c’est moi, c’est nous. Romance d’autrefois – Exil. Souvenirs – Tout le long des rues. Madame la pluie – Le bal du passé. J’en ai vu d’autres – Rêve, mon cœur. Paris qui s’éveille – Mon homme ne sort que la nuit. Mademoiselle de Paris – Amour du mois de mai. Elle tourne… la terre – Ils dansaient. Chante – J’en rêve. Elle tourne… la terre – Ils dansaient. Mademoiselle de Paris – Amour du mois de mai. Tout le long des rues – Souvenirs. Madame la pluie – Le bal du passé. Mon ami m’a donné – Y’a tant d’amour. À l’horizon – À Paris. Trois fois merci – Jamais. Comme on est bien dans tes bras – Il fait bon t’aimer. Est-ce ma faute ? – Toi et tes bras et tes lèvres. Y’a des jours bleus – Pour rien au monde. Le cœur tranquille – Il ne faut pas briser un rêve. Dors, mon cœur – Tu n’peux pas t’figurer. Regarde-moi – Aux quatre vents. Au bois de Boulogne (Patins à roulettes) – Tire, tire l’aiguille. Si tu partais pour la guerre – Les serments d’amour. Amours perdues – C’est mon gigolo. La fin d’un roman d’amour – Où es-tu mon amour. Y’a tant d’amour – L’île Saint-Louis. Où es-tu mon amour – L’île Saint-Louis – Tu n’peux pas t’figurer – La fin d’un roman d’amour - Tire, tire l’aiguille – Y’a tant d’amour – C’est mon gigolo – Les serments d’amour. La voyageuse – Reflets sur Paris. Si toi aussi tu m’abandonnes – Vous que j’aime. Mon cœur cherche ton cœur – Ça m’fait quelque chose. Ni toi ni moi – La Saint-Bonheur. Paris-canaille – Valse dans la nuit. Dors, mon cœur – Tu n’peux pas t’figurer. Au bois de Boulogne (Patins à roulettes) – Tire, tire l’aiguille. Ni toi ni moi – La Saint-Bonheur. La Saint-Bonheur – Mon cœur cherche ton cœur – Vous que j’aime – Amours perdues – Ni toi ni moi – Ça m’fait quelque chose – La voyageuse – Le cœur tranquille. La nuit – Ton mariage. L’amour s’en vient, l’amour s’en va – C’est pour moi qu’aujourd’hui. Embrasse-moi bien – On m’a donné une âme. Toi tu ne ressembles à personne – L’heure éblouissante. Deux amants – C’est inutile. La croqueuse de diamants – Sur le pont du nord. Déjà – Ne te retourne pas. Le doux caboulot – Chanson tendre – Poème – Le voyageur sans bagages – L’orgue des amoureux – Chanson posthume – Au son de l’accordéon – Bonjour Paris. La Saint-Bonheur – Tu n’peux pas t’figurer – Tire, tire l’aiguille – Paris-canaille. Ne te retourne pas – Au revoir mon enfance – Sans blague – Moi, mon Paris. Mets deux thunes dans l’bastringue – Viens au creux de mon épaule – Les lavandières du Portugal – C’est à Hambourg. L’enfant de la balle – On m’a volé tout ça – I love Paris – Z’yeux bleus. Mammy – Mon ami réveille-toi. Mon ami réveille-toi – Mammy – Déjà – Où es-tu mon amour. Domani (Demain) – Sur ma vie – La chanson pour l’auvergnat – Complainte de la butte. Domani (Demain) – La loi des rues. Tu n’peux pas comprendre – Java – Les deux tourterelles – Guinguettes. Z’yeux bleus – Tu n’peux pas comprendre – La valse des lilas – Domani (Demain) – Java – Les deux tourterelles – La fontaine endormie – Guinguettes. La valse des lilas – Les deux tourterelles – Z’yeux bleus – Guinguettes. Java – Tu n’peux pas comprendre – La fontaine endormie – Domani (Demain). La Marie-Vison – Les fleurs et l’amour – Que sera sera – Les lilas blancs – S’aimer d’amour – On ne sait jamais – Giovinella – Lettre à Virginie. L’ombre sous la mer – Ma p’tite polka – Le pain des pauvres – La vallée des larmes. Marjolaine – L’air de Paris – Ronde, ronde, ronde – Ah! La la la (La belle étoile). Sa jeunesse – Bal chez Temporel – Va pas t’imaginer – Jojo de ma banlieue. Marjolaine – Sa jeunesse – Va pas t’imaginer – L’air de Paris – Ronde, ronde, ronde – Bal chez Temporel – Ah ! La la la (La belle étoile) – Jojo de ma banlieue. Garde ça pour toi – Un jour nouveau – Ballade irlandaise (Un oranger) – Monsieur Hans. L’enfant aux oranges – Le temps du muguet – La complainte de la butte – Y’a tant d’amour – L’île Saint-Louis – Ni toi ni moi – La chanson de l’auvergnat – Ballade irlandaise – Monsieur Hans – S’aimer d’amour. Le soleil – Je n’peux pas rentrer chez moi – Ça gamberge – L’enfant aux oranges. Je n’avais pas compris – Des musiques – Le temps du muguet – On est tous les deux. La valse à mille temps – Complainte de Paris – Quand tu vas revenir – Te gêne pas. Une rose rouge – Notre paradis – Faudrait qu’tu m’aimes – Chanson pour Margot. Les enfants du Pirée – Chanson pour Margot – Tique taque – À la Bastille. Bye bye baby – Tipango – Près de la rivière enchantée – Madeleine. Les cigognes – Quand tu sauras – Où es-tu mon amour – Trois hommes. Demain – Je sais rêver d’amour – Merci chéri – Si Paris m’étais conté. (CD Barclay 069 138-2) Ne te retourne pas – Chanson posthume – Viens au creux de mon épaule – L’enfant de la balle – Mon ami réveille-toi – Mammy – Tu n’peux pas comprendre – La valse des lilas – La fontaine endormie – Les deux tourterelles – Guinguettes – Lettre à Virginie – L’ombre sous la mer – Marjolaine – L’air de Paris – Ah ! La, la, la (La belle étoile) – Sa jeunesse (entre ses mains) – On ne sait jamais – Jojo de ma banlieue – Ballade irlandaise – Monsieur Hans. (CD Barclay 069 139-2) Une rose rouge – La valse à mille temps – Complainte de Paris – Quand tu vas revenir – Te gêne pas – Faudrait que tu m’aimes – Chanson pour Margot – Tique taque – Bye bye baby – Près de la rivière enchantée – Les cigognes – Trois hommes – Quand tu sauras – Où es-tu mon amour ? – Demain – Je sais rêver d’amour – Merci chéri – Si Paris m’était donné – Un amour comme notre amour – Les printemps d’aujourd’hui – La fête est finie. |
Liens
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